je me dois de le dire
Je me dois de le dire
Certains seront tentés de dire que c'est une tentative de récupération, mais est- il juste aussi de cacher le travail de ceux qui depuis des années se battent pour l'intérêt des salariés.
Je veux parler de ces hommes et de ces femmes qui tentent souvent avec souvent peu de soutien de faire face aux patrons, qui sont un rempart contre les attaques qu’ils mènent sans relâche contre ceux qui leur font gagner du fric.
Dans notre entreprise, il y à deux organisation en place
Il est une évidence, si les organisations syndicales n’existaient pas, les patrons se feraient un plaisir de nous casser les reins, les sellières et compagnie qui n’ont que du mépris pour la classe ouvrière tiennent des discours qui sont sans équivoque.
Ne pensez vous pas que si dans les entreprises il y avaient une majorité d’ouvriers syndiqués et convaincus ,les patrons auraient une autre attitude face aux délégués lors des négotiations que se soit pour les salaires ou tout autre sujet concernant le bien vivre des ouvriers .
Je peux vous assurer que si nous, nous avons du mal à nous retrouver, eux ils sont sacrément bien structurés et organisés, en témoigne les grands meetings de rencontre qu’ils organisent à grand frais avec l’argent qu’ils nous ont gratté.
Nous, face à eux, nous devons avoir, l’union, la solidarité, la fierté et la certitude que nos luttes pour un monde plus justes sont légitimes.
Ce sont nos faiblesses qui font leur force, et nous savons bien aujourd’hui que nous avons peu à espérer des politiques.
Nous savons bien aussi que ce sont les patrons et leur fric qui dirigent le pays.
C’est dans chaque entreprise que le combat doit se mener, chaque victoire remportée devant un patron, c’est une pierre pour l’édifice que nous voulons construire.
Tant pis si certains appelle cela de la propagande, mais c’est une certitude, plus les syndicats seront fort, plus vous-mêmes vous le serez.
Il appartient à chacun de s’engager dans cette lutte, ne dites plus les syndicats ils font rien, venez les aider à faire.
Et bon sang, qu’importent les idéologies, nous pouvons nous retrouver sur une même idée lorsqu’une seule chose prime, l’intérêt des salariés.
J’ai choisi
C’est donc à nous, la masse, ceux du bas, ceux qui sont sur le terrain de leur faire comprendre qu’ils doivent nous écouter.
Est-ce en fuyant un système qu’on le change, non, ce sont les racines qui font l’arbre et non le contraire.
Et pourquoi ne le dirais-je pas, puisque je suis persuadé que c’est la solution
SYNDIQUEZ-VOUS, UNISSEZ VOUS
Chacun de vous doit être un maillon de la chaîne et plus il y aura de maillons, plus la chaîne sera solide.